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  Panorama sur
    le 92
  Des liens utiles
  
    
 
      
        
        La construction
        de logements sociaux en chute libre dans le 92.  Dans les années
        80, la production annuelle était de 3000 logements Pour ces trois dernières années : moins
        de 1500 ! |  
       
     
 
      
        
        Le préfet
        des Hauts-de-Seine pessimistesur  la consommation des crédits
        d'Etat pour la construction sociale dans les Hauts de Seine"2002
        avait été moins bon que 2001. 2003 sera pire !" |  
       
     
 
      
        
        Logement des plus
        démunis  Les crédits du Conseil général
        pour le logement des personnes en difficulté ont chuté
        de 15,7 % entre 1998 et 2000. |  
       
     
 
      
        
        Effort non partagé Moins
        de 30 % de l'objectif du Plan Départemental pour le Logement
        des plus démunis a été atteint dans les
        Hauts-de-Seine entre 1995 et 1999, l'essentiel ayant été
        réalisé par les villes de gauche. |  
       
     
 
      
        
        Qui sont les demandeurs
        de logement HLM ? 60 % ont moins de 40 ans Lorsqu'ils
        sont salariés : 67 % sont des employés 13
        % sont des ouvriers,  11 % sont des cadres 60 % des demandeurs ont des ressources inférieures
        au plafond PLA i |  
       
     
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     Véritable
    enjeu de société, le logement connaît une
    de ses crises les plus graves, avec 75.000 demandeurs de logements
    dans le 92, dont 25.000 prioritaires. Paradoxe accusateur de
    cette société où le logement est considéré
    comme une marchandise, la construction sociale est en chute libre. Pouvoir accéder à un toit avec un loyer
    accessible, et un cadre de vie agréable est une préoccupation
    majeure pour nombre d'altoséquanais. 
    Le gouvernement
    de droite a fait le choix d'un budget du logement en recul de
    8 %,
    avec réduction des crédits pour la construction
    de logements sociaux, la réhabilitation et l'accession
    à la propriété sociale. La
    majorité UMP/UDF du Conseil général et les
    maires de droite ne répondent pas aux besoins d'un habitat
    pour tous. 
    A la tête
    du département depuis 30 ans, la droite a fait la part
    belle aux logements de standing, en abandonnant les friches industrielles
    à la pression spéculative et en malmenant également
    le tissu pavillonnaire. Elle a accompagné
    le désengagement de l'Etat pour le logement social. Les
    maires de droite freinent la construction du locatif et organisent
    l'exclusion de population modeste et participent à ce
    que 20 % des crédits d'Etat pour la construction sociale
    dans les Hauts-de-Seine ne soient pas utilisés.
  
    Les conseillers
    généraux communistes stigmatisent l'action du Conseil
    général et son instrument direct qu'est l'OPDHLM
    92, avec
    :
   la baisse des
    crédits alloués au Plan Départemental d'Aide
    au logement des plus démunis,
  
    le recul des crédits d'investissement pour l'habitat.
    Ils étaient de 266 MF en 2001, 233 MF en           2002,
    alors qu'ils étaient de 416 MF en 1996 !
   la participation trop faible
    de l'OPDHLM 92 à l'effort de construction sociale, qui
    devrait être           engagé
    dans toutes les villes. 
    La droite
    départementale parle de mixité sociale, mais la
    refuse dans les faits. 
    Les élus
    de droite montrent du doigt le logement HLM comme responsable
    du "mal vivre", alors que ce dernier découle
    des difficultés sociales et de la concentration excessive
    dans certaines cités de populations fragilisées,
    rejetées par les villes de droite. L'OPDHLM
    92 contribue largement à ce mécanisme par sa politique
    d'attribution ségrégative dans son parc locatif.
    Alors que la loi SRU ambitionnait une répartition de la
    solidarité pour un habitat diversifié dans toutes
    les communes, les conseillers généraux de droite
    l'ont combattue. 
    Les propositions
    du Groupe communiste pour "un habitat pour tous" 
    L'objectif doit
    être celui d'un
    département n'excluant aucune population. Le choix n'est pas
    "tout social" ou "tout privé", mais
    d'une véritable
    mixité permettant le brassage des populations. En donnant en premier
    les
    moyens financiers nécessaires au logement social, pour octroyer à
    ceux, nombreux qui veulent être locataires un logement
    de qualité, au loyer modéré, à l'opposé
    de la conception d'HLM qui seraient réservés aux
    "pauvres" ; et en favorisant également la
    possibilité d'accéder à la propriété
    sociale à ceux qui font ce choix. 
    Pour cela,
    les élus communistes proposent, conjointement aux propositions nationales
    que les communistes développent :
   l'instauration d'une aide directe
    départementale à la construction sociale à
    tous les offices HLM et SEM
  
    l'augmentation de l'aide à la surcharge foncière
    et étendre les aides à d'autres opérations
    de renouvellement urbain non portées par le PACTE 92.
   le refus de la
    vente d'une partie du patrimoine de l'Office HLM 92, comme cela
    a été engagé en 2001 et 2002.
   une aide départementale
    au développement de l'accession à la propriété
    sociale en particulier dans les villes comportant un fort taux
    de logements sociaux, pour contribuer à la mixité.
   porter le taux
    de l'aide départementale au PALLULOS à 20 % pour
    tous les organismes et sociétés HLM.
   assurer la transparence de l'OPDHLM
    92 et le pluralisme en permettant la présence de l'opposition
    de gauche de l'assemblée départementale au conseil
    d'administration de l'Office.
  
    engager une réflexion pour soutenir l'accès des
    jeunes au logement, avec des réservations dans le patrimoine
    de l'OPDHLM 92 et l'aide au paiement de la caution.  |