Délibération 
                    1 - Cession du terrain de l’îlot 
                    11.4 de la ZAC Forum de Seine à l’Ordre des avocats 
                    de Paris.  
                  Implantation importante dans la mesure où 
                    il s’agit du premier établissement d’enseignement 
                    supérieur (après l’échec de celui 
                    d’une partie de la fac Dauphine) et qu’il implique 
                    l’arrivée de nombreuses personnes sur la commune. 
                    J’espère qu’il ne s’agit pas que 
                    d’une opération de prestige, destinée 
                    à améliorer (encore) l’image d’Issy 
                    les Moulineaux ; c’est le point sur lequel je souhaite 
                    quelques éclaircissements. 
                  
                    Il est question de 700 personnes en permanence sur ce lieu 
                    de formation mais aussi de 20000 journées de formation 
                    possibles dans l’année. Ce n’est pas banal, 
                    dans un quartier où se concentre la plupart des plus 
                    de 70000 salariés de la ville. 
                  J’aimerais connaître vos projets 
                    en matière de services publics qui devront être 
                    générés pour répondre aux besoins 
                    des étudiants et des enseignants d’une part et 
                    des Isséens d’autre part (habitants et salariés). 
                    
                    - en matière de transports, pour éviter d’en 
                    rajouter encore en matière de trafic automobile, avez-vous 
                    envisagé, avec la Ratp et la Sncf, l’éventualité 
                    d’une augmentation de fréquence de certains transports 
                    (tram, bus, RER) ? Cela serait cohérent avec les ambitions 
                    affichées par les projets de transports relatifs au 
                    Grand Paris et permettrait de proposer une réponse 
                    à court et moyen termes.
                    - quelle offre culturelle nouvelle comptez-vous développer 
                    en direction de ce public notamment, mais aussi de la population 
                    dans son ensemble les soirs et week-ends
                    - quelle réflexion a pu être engagée dans 
                    le domaine des commerces de proximité ?
                  Enfin, j’avoue ne pas mesurer ce que 
                    vous entendez en disant que ce projet va accroître la 
                    « mixité sociale ». Dans quelle mesure, 
                    alors que le quartier est constitué de bureaux et de 
                    logements généralement de standing, l’arrivée 
                    d’étudiants du supérieur, souvent de milieu 
                    plutôt favorisé, va-t-elle contribuer à 
                    renforcer la mixité sociale ?
                   
                  
                  
                   
                  
                    Délib 2 
                    – Avis sur le réseau de 
                    transport public du Grand Paris
                  
                    Cette délibération s’inscrit dans le prolongement 
                    de la loi du 3 juin 2010 sur le Grand Paris qui, sur la question 
                    des transports, a préconisé l’organisation 
                    d’un grand débat public national. Demandés 
                    par de nombreuses collectivités et associations franciliennes, 
                    ces 3 mois de consultation publique sont un élément 
                    important dans l’aménagement à venir de 
                    l’Ile de France. La participation nombreuse, voire très 
                    nombreuse aux plus de trente débats déjà 
                    tenus en atteste. Les réflexions émises dans 
                    les cahiers d’acteurs et entendues mardi dernier au 
                    Paci montrent, s’il en était besoin, que lorsqu’on 
                    associe les citoyens aux réflexions concernant leur 
                    présent et leur avenir, ils sont des plus présents.
                  La délibération 
                    qui nous est proposée aborde d’une part le projet 
                    du Grand Paris dans sa globalité et des considérations 
                    d’intérêt plus local, avec les projets 
                    transports pour notre commune, en lien avec GPSO. 
                  La réflexion 
                    sur l’avenir de la métropole a été 
                    engagée avec l’élaboration pendant deux 
                    ans du Sdrif. Elle s’appuie sur un double constat, que 
                    reprend aussi la loi du 3 juin – et qui ne concerne 
                    pas uniquement les transports – la région Ile 
                    de France est confrontée à d’importants 
                    déséquilibres sociaux et territoriaux, d’une 
                    part entre l’est et l’ouest, d’autre part 
                    au sein de mêmes territoires ; elle doit aussi relever 
                    le défi environnemental pour les générations 
                    actuelles et à venir. 
                  Concernant 
                    la question des transports, le GDPN a jugé bon de présenter 
                    les deux projets qui ont émergé ces dernières 
                    années – Arc Express, issu des réflexions 
                    du Sdrif et Le Grand huit, soutenu par le gouvernement. On 
                    peut regretter que le débat qui s’est tenu dans 
                    notre commune, qui fait l’objet de propositions dans 
                    les deux projets, n’ait porté que sur l’un 
                    d’entre eux. La question aujourd’hui n’est 
                    pas d’en opposer les tracés proposés, 
                    mais de voir ce qui permet de répondre aux enjeux majeurs 
                    posés à notre région : comment sortir 
                    de la saturation des transports existants, mailler l’ensemble 
                    du territoire, combler l’immense déséquilibre 
                    en matière de transports tout en relevant le défi 
                    environnemental et social ?
                  Comment, 
                    donc, juguler l’étalement urbain ? De ce point 
                    de vue, la proposition du pôle d’excellence autour 
                    de Saclay peut donner un signal inverse à celui affiché. 
                    La construction de bureaux et de logements dans cette boucle, 
                    autour de la gare prévue, pourrait encourager cet étalement 
                    urbain. En outre, la vision par pôles thématiques 
                    apparaît réductrice car elle ne prend pas en 
                    compte la grande diversité de chaque territoire. Elle 
                    laisse par ailleurs des territoires tenus éloignés 
                    des projecteurs du Grand Paris, qui ont le sentiment désagréable 
                    de ne pas faire partie du projet. 
                  Pour répondre 
                    aux besoins en transports, de lourds investissements sont 
                    nécessaires à court, moyen et long termes. Où 
                    en est-on, de ce point de vue, des engagements de l’Etat 
                    ? Pour un projet (le Grand huit), évalué à 
                    plus de 23 milliards, l’Etat n’en avancerait que 
                    4. Pour le reste, même si la loi évoque quelques 
                    pistes, le plus grand flou demeure. Notamment sur la proposition 
                    de transférer le fonds d’aménagement de 
                    la RIF aux collectivités. 
                  Car la 
                    question des transports en Ile de France ne saurait se résumer 
                    à la rocade en débat. Pour tisser le réseau 
                    à travers toute l’Ile de France et ne laisser 
                    aucun territoire à l’écart des transports, 
                    des moyens permanents sont nécessaires dès maintenant. 
                    Voyons ce que la carence de l’Etat en la matière 
                    depuis des années (le Stif avant 2008) a entraîné 
                    de retards en matière d’investissements, qui 
                    sont si préjudiciables aux passagers franciliens ! 
                    La question des financements est donc bien posée. 
                  Sur la 
                    globalité du projet, trois autres questions majeures 
                    ne trouvent pas réponse dans ce projet de délibération 
                    : 
                    - qu’en sera-t-il de la question du foncier, notamment 
                    pour les collectivités qui ne passeraient pas convention 
                    avec l’Etat (pb sur le périmètre de 400m 
                    autour des gares)
                    - quelle restera la marge de manœuvre des maires et des 
                    collectivités territoriales en matière d’urbanisme 
                    et de logement ? La SGP n’a pas été convaincante 
                    sur ce point mardi.
                    - quelle conception de la concertation, de la co-élaboration 
                    de l’ensemble du projet avec les collectivités 
                    et les citoyens ?
                  En vue 
                    de co-élaborer l’ensemble des décisions 
                    avec les populations et les acteurs socio-économiques, 
                    je pense qu’il est aussi utile de s’appuyer sur 
                    le syndicat Paris métropole, qui est un syndicat de 
                    projets et d’études et s’appuie sur les 
                    collectivités territoriales et sur le travail mené 
                    par les dix équipes d’architectes, notamment 
                    en matière de transports. 
                  Sur les 
                    enjeux plus strictement locaux, Issy est concernée 
                    par les deux projets. La commune et l’ensemble de l’agglo 
                    sont intégrés, mais Arc express, par le nombre 
                    de gares qu’il propose semble mieux répondre 
                    aux besoins. Il est plus que jamais nécessaire de sortir 
                    de la saturation du trafic et de désenclaver certains 
                    quartiers, notamment celui du Fort (pour aujourd’hui 
                    et a fortiori pour demain). L’anticipation est de mise 
                    sur ce point. A cet égard, je m’inquiète 
                    qu’une seule ligne de bus soit pour le moment prévue 
                    en renfort et que seulement deux entrées (et/ou sorties) 
                    soient envisagées sur cet immense ensemble. Les questions 
                    « fort » intéressantes posées sur 
                    le sujet mardi n’ont pas trouvé réponse 
                    ; or le temps presse. Je salue la confirmation de la demande 
                    de prolongement de la ligne 12, effectivement inscrite au 
                    Sdrif (j’y ai beaucoup insisté lors de la précédente 
                    mandature). Il serait juste de le préciser dans la 
                    délibération. Cette ambition a fait l’unanimité 
                    mardi. Elle a aussi le mérite de s’appuyer sur 
                    un tracé souterrain déjà techniquement 
                    étayé.
                  Parce 
                    que le projet Arc Express porte un projet régional 
                    susceptible, dans les 10 ans, d’améliorer la 
                    desserte de l’ensemble du territoire régional 
                    (bus, métros, trains), qu’il donne la priorité 
                    à la densité urbaine et à la qualité 
                    de vie, contre l’étalement urbain, il me paraît 
                    bien mieux adapté aux défis à relever. 
                    Il s’inscrit dans un projet de territoire fondé 
                    sur la résorption des inégalités pour 
                    une région qui ne soit pas qu’une métropole 
                    de la finance et des pôles d’excellence.
                  La délibération, 
                    telle qu’elle est proposée, nous prive d’une 
                    réflexion et de propositions qui seraient assises sur 
                    les besoins des Franciliens et des Isséens. Le pour 
                    ou contre un projet est bien réducteur par rapport 
                    aux ambitions à porter en la matière et par 
                    rapport aux idées d’une grande richesse émises 
                    lors des débats et sur les cahiers d’acteurs. 
                    Je pense donc que nous devrions repenser cette délibération, 
                    en présentant les enjeux et les défis posés, 
                    en exprimant les exigences relevant de l’intérêt 
                    général de la toute la région et de l’intérêt 
                    des Isséens. Ceci nous permettrait d’aboutir 
                    au meilleur projet. 
                  Il nous 
                    faudrait aussi émettre un certain nombre d’exigences 
                    quant à : 
                    - l’action contre l’étalement urbain, 
                    - la réduction du temps logement-travail (en soutenant 
                    une politique de logement pour tous)
                    - le nécessaire travail en cohérence avec le 
                    Stif et le pilotage du projet par la Région
                    - des financements s’appuyant sur une contribution importante 
                    de l’Etat ainsi que sur le FARIF et le versement transport.
                    
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                    Délib 3 
                    Rapport d’activité du SIFUREP 
                    (syndicat intercommunal funéraire d’IDF)
                  Vous abordez 
                    la question de l’offre forfaitaire proposée par 
                    l’OGF (1256 euros), qui, dans les conditions de crise 
                    extrême que nous connaissons, peuvent soulager des familles 
                    (même si ce coût est loin d’être anodin). 
                    Comment ce forfait est-il valorisé par la collectivité 
                    et par le prestataire ? Dans un moment où l’on 
                    vient de perdre un être cher, on ne pense pas nécessairement 
                    à s’informer d’une telle possibilité 
                    si l’entreprise ne le propose pas systématiquement.
                  En soutien 
                    au vœu que présente ma collègue Gabrielle 
                    Santarelli, je persiste à penser que seule l’absence 
                    de volonté du gouvernement français fait encore 
                    obstacle à une baisse de la TVA (en attestent les déclarations 
                    de Christine Lagarde sur le sujet). Les institutions européennes 
                    ne sont pas en cause. D’ailleurs, grâce à 
                    l’intervention et la mobilisation des acteurs du Sifurep, 
                    ce taux de TVA a déjà été abaissé 
                    plusieurs fois. 
                   
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                    Délib 4 
                    Approbation d’une convention avec 
                    le MAEE concernant la coopération décentralisée 
                    avec la ville de Dapaong (Togo)
                  Concernant 
                    les financements, on en peut que constater la faiblesse de 
                    l’engagement du MAEE qui, depuis plusieurs années, 
                    réduit son aide publique au développement. Compte 
                    tenu que pour les années 2011 et 2012, la totalité 
                    du financement n’est pas encore assurée, quelle 
                    garantie de mener à bien ce projet ?
                  Enfin, 
                    quel partage du projet avec les Isséens et avec les 
                    habitants de Dapaong : comment sont-ils associés ? 
                    
                  Et quelle 
                    expertise directement isséenne est sollicitée 
                    ? 
                  Ce projet 
                    rappelle, s’il en était besoin, l’enjeu 
                    de l’accès à une eau potable pour tous 
                    les habitants de la planète, et donc que l’eau 
                    ne saurait être une marchandise. 
                   
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                  Délib 
                    6 Primes de fonctions et de résultats
                  Arrêté 
                    du 9 octobre 2009
                  Le niveau 
                    de cette PFR est une chose, sa philosophie en est une autre. 
                    C’est cet aspect que je souhaite mettre en cause ce 
                    soir. La PFR est une pierre supplémentaire à 
                    l’édifice que le gouvernement a mis en place 
                    ou en chantier autour de la réforme/destruction de 
                    la Fonction publique (casse du statut, non remplacement d’un 
                    fonctionnaire sur 2…)
                  Ce la 
                    revient à légitimer entièrement l’individualisation 
                    totale des carrières, des parcours professionnels et 
                    des rémunérations. C’est l’institutionnalisation 
                    de la concurrence et de la compétition comme mode de 
                    relations entre fonctionnaires et la négation du fait 
                    que les missions de service public doivent être une 
                    œuvre collective pour être efficaces. Les effets 
                    sont lourds pour les personnels et désastreux pour 
                    les citoyens.
                    La logique qui sous-tend l’évaluation est aussi 
                    inquiétante pour la conception d’une fonction 
                    publique considérée comme une entreprise rentable 
                    comme une autre. 
                    En outre, compte tenu de la baisse constante des budgets alloués 
                    à la rémunération des fonctionnaires, 
                    si certains trouveront un bénéfice à 
                    cette disposition, le plus grand nombre verra sa rémunération 
                    globale fondre encore un peu plus. Dans ce contexte, obtenir 
                    une bonne évaluation de son supérieur hiérarchique 
                    constitue un enjeu majeur pour la rémunération 
                    et la carrière. 
                  C’est 
                    plutôt d’une revalorisation indiciaire que la 
                    Fonction publique a besoin, dans le cadre d’une refonte 
                    globale de la grille des rémunérations ; pas 
                    d’un dispositif qui génère des concurrences 
                    entre agents au lieu de leur nécessaire collaboration.
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                  Délib 
                    13. Cession l’office public seine 
                    ouest habitat de l’ensemble immobilier sis 19-27 rue 
                    du Dr Lombard/rue du Père Natter. 
                  
                    Quelles seront les conséquences de cette cession pour 
                    les occupants, en terme de loyers et concernant les logements 
                    vacants : cela va-t-il améliorer la mixité sociale 
                    ? Qui va gérer les travaux éventuellement nécessaires 
                    dans chaque appartement ainsi que l’entretien des locaux 
                    ? 
                  Quid de 
                    cette lourde commission due à la société 
                    Valream (Administration d’immeubles et autres biens 
                    immobiliers à Neuilly sur Seine, créée 
                    en 2008) qui a notamment acquis une réputation en contribuant 
                    à des ventes à la découpe (Antony) ?
                    
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                    18 : Débat d’orientations 
                    budgétaires  
                  
                    Ce document est le prélude à un débat 
                    important qui doit marquer la réunion de ce conseil 
                    municipal, puisqu’il porte sur les choix, les priorités 
                    retenus par la municipalité pour l’année 
                    à venir et en conséquences, les financements 
                    qui s’y rattachent. 
                  Vous êtes 
                    peu disert sur les conséquences catastrophiques de 
                    la réforme territoriale sur les collectivités, 
                    notamment du fait de la disparition de la taxe professionnelle. 
                    A telle enseigne d’ailleurs que même le rapporteur 
                    de la commission des finances, votre ami (politique) Gilles 
                    Carrez, s’est ému du surcoût que représentait 
                    cette mesure pour le budget de l’Etat ! Avec le projet 
                    de loi de finances 2011 et cette réforme, c’est 
                    le règne de la contrainte économique – 
                    pas pour les grosses entreprises, par pour les grosses fortunes, 
                    mais pour les collectivités et les citoyens. Pour notre 
                    commune, la compensation est-elle assurée à 
                    100% en 2011 ? et en 2012 ? D’autant que le gouvernement 
                    a annoncé une gel de ses dotations aux collectivités 
                    pendant 3 ans… Un véritable arrêt de mort 
                    pour nombre de communes, pendant que les départements 
                    et les régions ne pourront lus lever l’impôt.
                  Vous relayez 
                    une obsession nationale en vous targuant de contribuer à 
                    la baisse de la dépense publique, à l’instar 
                    aussi des politiques européennes d’hyper austérité 
                    qui saignent déjà la Grèce, l’Irlande 
                    et le Portugal. Localement, cela donne une externalisation 
                    du personnel depuis 2004, avec les méfaits que l’on 
                    connaît (ou que l’on aimerait bien connaître) 
                    et qui me font m’interroger sur votre formule d’une 
                    masse salariale parfaitement maîtrisée – 
                    à quel prix pour les personnels et pour les Isséens 
                    ? 
                  Cela donne 
                    aussi une frénésie de privatisation des structures 
                    de la petite enfance ou d’ouverture de crèches 
                    privées. Tout récemment, les Isséens 
                    et les habitants de GPSO ont pu apprécier les conséquences 
                    de la RGPP qui vous est chère et d’une intercommunalité 
                    qui fonctionne sur les mêmes principes de restriction 
                    de la dépense publique : plus assez d’agents 
                    de l’équipement pour déneiger, seulement 
                    200 agents déployés pour 309000 habitants dans 
                    un épisode météo certes pas exceptionnel 
                    d’une ampleur nécessitant une réponse 
                    autrement adaptée !
                  Concernant 
                    le chapitre des entreprises, on a bien le tableau de celles 
                    qui arrivent (et qui augmentent encore le rapport salariés/habitants 
                    qui commence à créer d’importants déséquilibres). 
                    On voit moins celles qui partent ou sont en partance (où 
                    est passé Hewlett Packard dans ce palmarès ? 
                    que va devenir Stéria ?)
                  Si la 
                    maîtrise budgétaire peut être une qualité, 
                    comment la mettre au service de tous les Isséens, dans 
                    une période difficile pour la plupart des habitants, 
                    en développant les services publics, l’action 
                    sociale, les projets culturels… On ne saurait s’en 
                    tenir au projet du Fort et à la dématérialisation 
                    des documents. 
                  Je nuancerais 
                    aussi la fierté d’augmenter le montant des subventions 
                    aux associations, car un examen détaillé montre 
                    qu’elles concernent surtout de grosses structures municipales 
                    ou para municipales et très peu des associations citoyennes 
                    (pas de budget pour des salles de réunion et de créations 
                    de projet). 
                  Enfin, 
                    concernant GPSO qui apparaît pour la première 
                    fois en tant que tel dans le DOB, il serait intéressant 
                    de connaître, par exemple, si le faible pourcentage 
                    des dépenses consacrées 
                    au logement par la municipalité trouve un écho 
                    dans le budget qui serait dépensé par l’agglo 
                    sur ce poste.